Nos actualités santé
Une bonne hydratation pour rester en bonne santé
Si l’organisme peut se priver de nourriture sur une durée plus ou moins longue, il n’en est pas de même pour l’eau. Une personne ne peut survivre au-delà de 4 à 5 jours sans boire. En effet, l’eau est le principal constituant d’un organisme adulte qui représente près de 75% de son poids. Voilà pourquoi l’hydratation est cruciale. Nous vous expliquons ci-après le rôle de l’eau et des astuces pour atteindre la ration quotidienne. L’importance d’une bonne hydratation Puisque l’eau est le constituant principal de l’organisme, cela va de soi que pour maintenir son bon fonctionnement, il vous faut boire. D’abord pour compenser les pertes au quotidien, l’organisme ne peut pas stocker l’eau qui se fait par le biais de la transpiration, des urines et la respiration.
Santé oculaire : Prévenir et traiter les problèmes de vue courants
Smartphone, tablette, ordinateur, télévision… à l’ère du tout numérique, nos yeux sont sollicités en permanence, et ce, des heures durant. Ces nouvelles habitudes bouleversent notre mode de vie et impactent nos yeux : les problèmes de vue surviennent plus précocement. Si certains sont héréditaires et nécessitent tôt ou tard un traitement, pour d’autres, il est possible de les prévenir. Les problèmes de vue les plus courants et leur traitement Les troubles de la vue se manifestent souvent par une vision floue : ce qu’on regarde n’est pas net et/ou on n’arrive pas à observer les détails de l’environnement. Les 4 troubles de la vue principaux sont la myopie, l’hypermétropie, l’astigmatisme et la presbytie.
Diabète de type 2 : le prévenir et le traiter
Le diabète est une maladie métabolique chronique caractérisée par une élévation du taux de sucre dans le sang, ou hyperglycémie. Dans plus de 90% des cas, il s’agit du diabète de type 2 et concerne près de 2 millions de Français. Asymptomatique et indolore, il est le plus souvent de découverte fortuite, au décours d’un examen de routine. Ses complications sont pourtant importantes. C'est pourquoi il est important d’avoir une bonne prise en charge. Mais le prévenir est encore mieux. Qu'est-ce que le diabète de type 2 ? Autrefois appelé diabète non insulinodépendant ou diabète gras, le diabète de type 2 survient dans la majorité des cas à l’âge adulte, après 40 ans. De nos jours, il est malheureusement aussi diagnostiqué chez l’enfant. Contrairement au diabète de type 1, le pancréas de la personne qui présente un diabète de type 2 continue de sécréter de l’insuline, l’hormone qui régule le taux de sucre dans le sang. C’est son organisme qui ne l’utilise plus correctement et c’est ainsi que le glucose se retrouve avec un taux élevé dans le sang. Le diabète de type de 2 présente les mêmes symptômes que celui du type 1. Mais comme ils sont moins criants, on y fait moins attention. La maladie est souvent découverte fortuitement suite une prise de sang. Ces symptômes sont : des soifs et des faims plus importantes, la fatigue, des besoins d’uriner plus fréquents, des infections plus fréquentes (gingivale, vaginale, vésicale…), des blessures qui tardent à cicatriser, des fourmillements ou au contraire des insensibilités des pieds et des mains, une peau sèche sujette à des démangeaisons, une vision floue, et/ou trouble de l’érection. Le diabète de type 2 est pourtant à l’origine de complications graves, au même titre que le diabète de type 1.
Le tabagisme passif, un danger silencieux pour la santé
Alors que la majorité de la population pense que seuls les fumeurs risquent de développer des maladies liées au tabagisme, il faut savoir que leur entourage risque également leur santé. C’est le tabagisme passif. Ce phénomène concerne un million de personnes en France, tout âge confondu, et serait la cause de 3500 décès par an en moyenne. Un chiffre encore élevé depuis l’entrée en vigueur de l’interdiction de fumer dans les lieux publics et de travail. D’où l’importance d’informer le public sur les dangers du tabagisme passif. Comprendre le tabagisme passif Le tabagisme passif est défini par le fait d’inhaler la fumée dégagée par un ou plusieurs fumeurs. Il en existe trois types. Le premier est le tabagisme environnemental lorsque la personne non fumeuse est exposée en inhalant la fumée de tabac. Le second est le tabagisme gestationnel, celui auquel le fœtus est exposé si la future mère fume. Enfin, le tabagisme tertiaire ou ultra-passif. Si la fumée et l’odeur du tabac se dissipent assez rapidement, les substances toxiques peuvent rester en suspension dans l’air pendant plusieurs heures, voire des jours pour certaines. Elles s’incrustent dans les tissus et peuvent être de nouveau présentes dans l’air ambiant. C’est ce qui constitue le tabagisme tertiaire ou ultra-passif. Ainsi, ce n’est pas seulement au moment où une personne fume que son entourage est exposé aux substances dégagées par la fumée, mais bien au-delà, et en l’absence même de fumée.
Les allergies alimentaires chez l’enfant
L’allergie alimentaire chez l’enfant, la comprendre pour mieux la prévenir L’allergie alimentaire chez l’enfant constitue le 3ème problème de santé mondiale selon l’OMS. Le nombre d’enfants allergiques aux aliments augmente et concerne 6% à 8% des moins de 12 ans. Cette s’expliquerait, entre autres, par la disponibilité d’aliments de provenance lointaine et la modification du mode alimentaire participant à la dissémination de nouveaux allergènes. Allergie alimentaire : comprendre le mécanisme de survenue
Articulations : faire la différence entre arthrose et arthrite
Comme l’arthrose et l’arthrite font partie des rhumatismes, les personnes qui souffrent de l’une ou de l’autre ont souvent du mal à faire la différence. Et pourtant, ce sont deux affections bien distinctes et à ce titre, leurs manifestations le sont aussi, même si elles présentent des symptômes similaires. Ces deux maladies douloureuses peuvent être handicapantes, nécessitant un diagnostic précoce et une prise en charge adaptés. Avec les explications qui suivent, nous vous aidons à en faire la différence. Alors, Arthrite ou arthrose ?
L’hypertension artérielle ou HTA - Prévention et prise en charge
L’hypertension artérielle est une maladie cardiovasculaire chronique qui touche 1 personne sur 3 en France, et 1,28 milliard de personnes dans le monde. Définies par une élévation des pressions dans les vaisseaux, certaines personnes ignorent qu’elles en souffrent, car la HTA est souvent silencieuse au début. L’HTA est pourtant cause de complications graves, voire mortelles. Et pourtant, elle est aussi la première cause évitable de décès. D’où l’importance de la prévention et de la prise en charge. L’hypertension artérielle : des moyens de prévention L’HTA est caractérisée par une élévation des pressions systolique et diastolique du cœur, mesurées à la contraction cœur et à son relâchement. Ces pressions sont représentées par des valeurs mesurées au repos : on parle d’HTA lorsque l’une ou l’autre de ces valeurs dépasse respectivement 140 mmHg et 90 mmHg. Certains facteurs favorisants l’HTA sont modifiables, permettant de réduire les risques de la développer, mais aussi de prévenir les complications.
Mesdames, messieurs : fortifiez vos cheveux !
Mesdames, fortifiez vos cheveux ! Le nombre de bulbes pileux et leur durée de vie sont déterminés génétiquement. Ainsi, à un certain moment, des cheveux vont tomber lorsque leur bulbe arrête d’en produire. D’ailleurs, vous l’aurez constaté : vous perdez des cheveux au quotidien. Mais entre une chute physiologique, et donc tout à fait normale, et une chute pathologique, il y a tout un monde. Et vous pouvez prévenir cette dernière en fortifiant vos cheveux. Quand parle-t-on de chute de cheveux ?
Microbiome intestinal, son importance pour la santé
Le microbiome intestinal ? Vous en avez entendu parler, mais avez du mal à comprendre ce que c’est. Et pourtant, tout le monde en parle, informant, voire matraquant son importance pour notre santé globale. Mais de quoi s’agit-il ? Comment maintenir un microbiome intestinal sain ? Des éléments de réponses. Microbiote et micorbiome, quelle différence ? Le microbiote, ou flore est constitué par l’ensemble des microbes qui vivent avec ou dans l’être humain. Leur présence ne provoque ni maladie ni d’infection. Ils sont dits commensaux. Il s’agit de bactéries, parasites, virus, champignons et autres micro-organismes. Chaque partie du corps humain a son propre microbiote. On parle de microbiote intestinal, respiratoire, vaginal, buccal… Le microbiome, quant à lui, désigne le génome du microbiote, l’ensemble des chromosomes et des gènes, ainsi que l’environnement du microbiote.
La propolis, un produit de la ruche qui nous veut du bien
La propolis est une résine produite par certaines plantes pour les protéger des agressions extérieures. C’est cette matière que les abeilles transportent et transforment par la suite pour protéger leur niche et l’assainir. D’ailleurs, le terme propolis signifie littéralement rempart. Connue et utilisée par l’Homme depuis l’Antiquité, la propolis n’a trouvé sa place dans notre société comme produit de santé et de bien-être que récemment. Que renferme la propolis ? Une fois butinées et ramenées à la ruche, les différentes résines sont transformées par les abeilles. En effet, les abeilles les mastiquent et les mélangent à leurs sécrétions, dont la salive et la cire. Et c’est ainsi qu’est formé ce produit de la ruche qu’est la propolis. La couleur de la propolis brute varie en fonction de la souche de résine depuis laquelle elle est fabriquée. Ainsi, elle varie du vert au brun et au rougeâtre. La résine provient habituellement de l'épicéa, du pin et du sapin. Mais elle peut aussi provenir de bourgeons de peupliers, hêtres, saules, frênes, aulnes, bouleaux et marronniers d'Inde. Une ruche ne produit que 100 à 300 grammes de propolis par an en moyenne. D’une façon générale, la propolis renferme plus de 400 substances. De nos jours, 180 d’entre elles ont été identifiées. Parmi elles, celles qui ont de l’intérêt pour la santé sont :
Oups ! J’ai des fuites urinaires !
Comme tout trouble qui touche à l’intimité, les fuites urinaires, ou incontinence urinaire, restent un sujet tabou. À ce titre, les personnes qui en sont victimes ont du mal à en parler, même auprès de leur médecin, et ont tendance à s’isoler. Ce trouble touche plus de femmes que d’hommes et peut être passager, comme il peut aussi s’installer dans le temps. Heureusement, des solutions adaptées à chaque type de fuite existent. Les fuites urinaires, des incidents gênants Qui dit fuite urinaire, dit émission accidentelle d’urine qui survient sans en avoir ressenti le besoin. Elle est involontaire et arrive en dehors des mictions. Comme tout accident, elle échappe au contrôle et peut survenir à tout moment. Toutefois, toutes les fuites n’ont pas les mêmes causes et on distingue alors plusieurs types :
Bien s’informer sur le diabète de type 2 pour mieux le prévenir
Maladie métabolique chronique, le diabète touche environ 8% de la population mondiale adulte et 5% de la population française. La prévalence du diabète ne cesse d’augmenter, ainsi que le taux de mortalité lié à ses complications. Heureusement, un dépistage précoce, un traitement et un suivi médical adaptés permettent de les réduire, quel que soit le type de diabète. Comprendre le diabète Le diabète est une élévation chronique du taux de glucose – hyperglycémie - dans le sang, liée à un trouble de l’assimilation ou d’utilisation et du stockage des sucres apportés par l’alimentation. Il est avéré si la glycémie à jeun, lors de deux dosages successifs, est égale ou supérieure à 1,26 g/L ou 7 mmol/L de sang. Ou si ce taux est égal à 2 g/L à tout moment de la journée. Ce trouble est dû à l’absence ou l’insuffisance de production d’insuline par le pancréas (diabète de type 1 ou T1), ou à l’incapacité de l’organisme à l’utiliser (diabète de type 2 ou T2).